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L’ANSES remet son rapport sur la qualité de l’eau du robinet : inquiétant !

Des métabolites de pesticide dans l’eau du réseau

L’ANSES a remis avant-hier jeudi 6 avril 2023 son rapport sur la qualité de l’eau du robinet.
L’étude révèle que le métabolite du chlorothalamil R471811 est présent dans plus de la moitié des prélèvements.
Ces composés chimiques ne sont pas ou peu cherchés dans les analyses régulières qui sont faites jusqu’à présent.

Le chlorothalamil est un composé issu de la dégradation d’un fongicide interdit en France depuis 2019. Cependant un délai a été accordé jusqu’en 2020 afin d’écouler les stocks alors qu’il est suspecté d’être cancérigène 1B (= supposé).

Ce composé n’est pas le seul à être montré du doigt puisque le rapport révèle que 7 polluants dits « émergents », c’est-à-dire non recherchés jusqu’alors, présentent des taux supérieurs à 0,1 microgramme/litre, dépassant ainsi la limite de qualité réglementaire.

Le rapport mentionne également qu’en 2017, 39 produits à base de ce fongicide étaient autorisés en France pour le traitement des cultures du blé, de l’orge, des légumes comme les choux, les concombres ou les carottes, et des fruits comme la tomate…

L’ANSES dévoile en outre qu’un autre métabolite d’un herbicide très utilisé sur le soja, le maïs et le tournesol, le métolachlore ESA, est présent dans plus de la moitié des échantillons.

Le gouvernement se veut rassurant et se refuse à parler de risque sanitaire dans l’eau potable. Cependant, personne n’est capable de mesurer à l’heure actuelle, ce qu’on appelle l’effet cocktail : quels sont les résultats à long terme de l’accumulation de tous ces résidus dans nos organismes et leur combinaison entre eux ?

Qu’en est-il de l’eau en bouteille ?

Un rapport de l’ONU de mars 2023 conclut que l’eau en bouteille n’offre pas de garantie de qualité : leur teneur en minéraux varie au sein d’une même marque, les conditions de stockage sont alarmantes (exposition au soleil, durée de l’exposition, …), les traitements subis (ozonation, ultraviolets, …) et contamination : métaux lourds, hydrocarbures, bactéries, champignons…. S’ajoute à cela l’ampleur de la pollution générée par la consommation de ces bouteilles d’eau en plastique.

Dans ces conditions, filtrer son eau devient une nécessité…

Des solutions existent !

Amilo